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Une session spéciale de haut niveau sur l’Initiative Education Plus a marqué le dernier jour du sommet de l’Afrique de l’Ouest et du Centre sur le VIH.
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Une opportunité saisie par la Secrétaire Exécutive du CNLS de signaler une situation « préoccupante » des adolescents en ce qui concerne l’infection à VIH. En effet, selon elle, on note une baisse partout, sauf chez les 15-24 ans. Et dans ce lot, les jeunes filles sont 2 à 3 fois plus infectées que les jeunes garçons.
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Une situation qui est, entre autres, la conséquence d’une faible connaissance des moyens de prévention (26% contre 37% chez les garçons), de l’ignorance des lieux de dépistage, ou des grossesses précoces.
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Pour Dr Safiatou Thiam, il est nécessaire de renforcer la communication pour un changement comportemental chez les adolescents.
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D’autre part des interactions sont nécessaires entre le gouvernement, la société Civile, et les jeunes.
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Cette rencontre de haut niveau sur l’initiative Education Plus-De l’engagement à l’action : Faire de l’éducation un levier pour la prévention du VIH et l’égalité des sexe en, Afrique.
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Cette rencontre avait pour objectif d’obtenir un engagement politique de haut niveau pour repositionner l’éducation plus au sein de la réponse au VIH/SIDA au centre d’une approche intégrée et s’attaquant aux inégalités dans toute la région.
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Les organisateurs ont aussi voulu susciter l’intérêt des décideurs et partenaires de façon à augmenter les investissements en matière d’éducation d’intervention multisectorielle en faveur des adolescentes et des jeunes femmes.